Cette année, pour Pâques, arrêtez avec les lapins en chocolat. Sérieusement.
On a mieux. Un pot. Pas n’importe lequel, la "Pâte à tartiner d'Antoinette" Une pâte à tartiner qui ne se contente pas d’être bonne. Elle est brutale. Elle est viscérale. Elle est l’alliance parfaite entre le croquant du sarrasin torréfié et la douceur addictive de la noisette. Un équilibre si précis qu’on dirait une arnaque.
Parce que cette année, on ne parle plus de chasse aux œufs. On parle de quête.
Une quête qui nous emmène de Paris à la Bretagne, chez Jean-Baptiste et Vincent de Chez Antoinette Poisson, où le sarrasin s’invite en maître, hommage aux crêpes dorées qu’on voudrait éternelles. Un goût qui sent la terre, l’authenticité, la flamme qui crépite.
Plus qu’un pot, un chef-d'œuvre. Chaque détail pensé, travaillé, pour faire de ce pot un objet aussi rare qu’essentiel. Présenté dans un coffret qui ne finira pas au fond d’un placard. Parce que certains objets ne se jettent pas.
Comment la manger ?
À la cuillère. Directement. Ou en couche indécente sur une crêpe ou une brioche tiède. Ou dans un gâteau, si vous aimez encore jouer les classiques.
Comme tout ce qui mérite d’être désiré, elle est en édition limitée. Dispo chez Confiture Parisienne et Chez Antoinette Poisson.
Ne tardez pas. Parce que comme toutes les bonnes choses, ça ne durera pas.
Tout est meilleur avec de la pâte à tartiner !
Commençons par retracer le parcours de ce délice chocolaté ! La pâte à tartiner c’est en effet, avant toute chose, un produit originaire d’Italie : le fameux Gianduja. Le Gianduja, c’est une pâte composée bien sûr de chocolat, mais aussi de noisettes finement pilées. On raconte que cette pâte chocolatée aurait été inventée lorsque Napoléon, en décidant le blocus continental, coupa l’Italie de l’Angleterre, rendant l’approvisionnement en cacao beaucoup plus coûteux et fastidieux. Initialement cependant, le Gianduja se présente sous la forme d’une brique que l’on tranche pour la déguster sur du pain. Mais alors comment peut-on passer d’une brique de chocolat à une pâte onctueuse telle que nous la connaissons aujourd’hui ? À l’été 1949, toute l’Italie est touchée par une canicule intense qui fait fondre le Gianduja. Pour éviter les pertes, on décide alors de verser la préparation dans des pots ! La pâte à tartiner était née et elle deviendra même emblématique des années 1960.
Aujourd’hui encore, lapâte à tartinerrappelle de délicats souvenirs aux adultes et ravit les papilles des plus petits. C’est un incontournable du petit déjeuner, mais aussi du goûter et bien sûr de la Chandeleur !
Choisissez la prochaine pâte à tartiner qui comblera votre gourmandise !
Avec le temps, lapâte à tartinera évolué et a même eu tendance à perdre de ses saveurs d’origine. Confiture Parisienne a donc choisi de vous faire découvrir et redécouvrir tout le potentiel de gourmandise de la pâte à tartiner à travers notre gamme Les Tartines qui réunit de véritables délices !
Notre collection de pâtes à tartiner vous accompagne dès le petit déjeuner avec des pots qui offrent le meilleur du cacao et des fruits secs : amande, noisette ou encore pistache !
Nous avons également imaginé des associations de saveurs addictives à l’image de la pâte à tartiner Chocolat Cacahuète confectionnée avec le chef François Daubinet et que nous vous invitons à déguster sur des tartines de pain de campagne, sur une crêpe ou encore dans un gâteau.
Dans notre atelier, nous avons aussi imaginé une alliance parfaite : celle du chocolat et des fruits. La Tartine Chocolat Framboise ça n’est que des bons ingrédients, avec un chocolat noir Manjari 100% pure pâte, de la framboise Willamette, du sucre de canne non raffiné et un peu de citron !
Bien sûr, nous savons que vous ne résisterez au best-seller des Tartines avec la tartine noisette du Piémont et d’Alba, sucre et cacao pur, rien que ça, seulement de bons ingrédients !
